jeudi 20 juin 2013

Racisme contre les personnes blondes dans La dépêche du Midi de J. M. Baylet




                                Nous l'avons déjà vu, La dépêche du Midi mène depuis des années une campagne de propagande assez nauséabonde contre les femmes et les hommes blonds.  Ce journal, contrôlé et détenu par Jean-Michel Baylet (Président du parti Radical de Gauche),  jouit d'un monopole de fait sur tout un lectorat du sud-ouest de la France. Les habitants du cru, s'ils veulent connaître les chiens écrasés et les vols de pédalos dans leur région, sont tenus de s'informer dans cet organe de presse unique; ils reçoivent à cette occasion de nombreux messages plus ou moins insidieux servant les lubies et intérêts du propriétaire, qui a hérité de ce monopole et de charges électives diverses et variées , d'une manière aussi loyale et démocratique que les bourgs pourris de l'Angleterre du XIXéme siècle.
 
                                   Les obsessions raciales de cet organe, au sens de Soljenitsyne, sont donc rendues obligatoires pour les populations du territoire détenu par ce monopole; sur les 44 dernières livraisons des "Blagues mails" parues dans ce journal   link  , 12 contiennent des insultes raciales contre les personnes blondes, soit 27.27 % du total . On peut mesurer à cette occasion la force de la haine qui anime cet organe pour humilier à ce degré certaines personnes choisies sur des critères raciaux.
 
                                    Or, chose étonnante, la propre mère de Jean-Michel Baylet, Evelyne Baylet link , arbore fièrement une teinture blonde du plus bel effet.
 

 
                                     Y-a-il un règlement de compte psychanalytique d'un fils dominé  par une mère juive trop possessive (1),  peut-être castratrice, dans cette obsession pathologique qui le pousse à insulter les  personnes blondes ?


                                   Dans tous les cas, cette volonté de nuire et d'humilier révèle une personnalité profondément blessée. 
 
 
(1) Evelyne Baylet, née Isaac, est d'origine à la fois séfarade et ashkénaze.




 
 

vendredi 7 juin 2013

Pourquoi les "antiracistes" détestent-ils autant les blondes ?







     Un article percutant du chercheur Philippe Gouillou, où certaines vérités dérangeantes se font jour.






Le QI des blondes

 
 
Il est maintenant considéré que les femmes présentent un QI inférieur d'environ 4 points de celui des hommes (voir Douance), les blondes sont les plus féminines des femmes (voir Pourquoi...) : peut-on en déduire que les blondes ont un QI au ras des pâquerettes ?
Si on en croit la sagesse populaire : oui, ça ne fait aucun doute. Sur la Côte, "Blonde" égale "Conne" et les deux mots sont employés indiféremment pour désigner toute personne victime d'une faiblesse intellectuelle, ne serait-elle que passagère, et cela quel que soit son sexe.
Mais dès lors une question se pose : comment dans un pays où l'antiracisme fait rage et où il est tabou de parler d'origine biologique du QI (alors même qu'à l'étranger les débats sont déjà sur la règlementation de l'utilisation des médicaments augmentant le QI) peut-on affirmer aussi clairement une origine capilaire de l'intelligence ?

 
Reprenons depuis le départ.
Tout d'abord, un calcul rapide montre que cette différence supposée d'intelligence ne tient pas la route et ce pour deux raisons. La première est qu'une différence de 4 points de QI ne se remarque pas au niveau individuel (le QI de chacun, homme ou femme, varie beaucoup plus au long d'une journée). La deuxième est que même si un tel effet était observé, les blondes auraient un QI supérieur à celui de la moyenne de la population mondiale. En effet, dans un pays où la moyenne est de 97 (selon les estimations de Lynn), les femmes y auraient un QI moyen de 95 [1], et au pire les blondes seraient aux alentours de 94... pour une moyenne mondiale (hommes et femmes ensembles) de 90. La soit-disant stupidité des blondes ne peut donc pas se fonder sur des observations empiriques : le mythe vient d'ailleurs.
Ensuite, il est possible que la jalousie des brunes y ait une part. "Blondes have more fun" dit le proverbe et les études ont montré qu'il est valide. Les succès sexuels des blondes sont tels que de très nombreuses femmes vont se décolorer les cheveux (encouragées en cela par la mode récente du sexe rasé : le risque d'être confondue s'évanouit). Mais ce n'est pas une explication suffisante : toutes les blondes ne sont pas belles, et pourtant elles sont toutes dénigrées à un niveau atteint par aucune autre caractéristique physique.
Enfin, les blondes présentent une caractéristique importante : elles sont presque toutes d'origine Européenne. Ce n'est pas tout à fait 100% parce que la blondeur est répandue ches les femmes Aborigènes d'Australie (qui ne présentent aucun signe d'origine Européenne). Peter Frost, PhD remarque :

"Most humans have only one hair color and one eye color. Europeans are a big exception: their hair is black but also brown, flaxen, golden, or red; their eyes are brown but also blue, gray, hazel, or green. This diversity reaches a maximum in an area centered on the East Baltic and covering northern and eastern Europe. If we move outward, to the south and east, we see a rapid return to the human norm: hair becomes uniformly black and eyes uniformly brown."
Why Do Europeans Have So Many Hair and Eye Colors? Peter FROST - Université Laval (Canada)
En bref, hormis Down Under, une vraie blonde est une femme d'origine Européenne, une Blanche.
Nous pouvons maintenant revenir à la question d'origine : comment peut-on dénigrer les blondes dans un pays qui pratique l'antiracisme à haut volume ? N'est-il pas à l'opposé des idéaux d'égalité, de dignité, de tolérance que de dénigrer ainsi un groupe en fonction d'une caractéristique physique ? Pourquoi ce silence des féministes et des antiracistes ?





 


                                            En fait, c'est bien l'antiracisme qui en est à la base, au travers de deux axes qui se renforcent. Tout d'abord, tout groupe souffrant d'une censure trop importante aura besoin de soupapes de sécurité, et pour celles-ci le plus sage est d'utiliser le détournement dans l'expression de ses sentiments réels. Au lien de critiquer un groupe protégé, il suffit de diriger sa critique vers un groupe désigné à la vindicte populaire pour réduire à néant les risques. Or l'antiracisme ne se fonde pas que sur la négation de l'existence des races [2] mais aussi sur l'affirmation que la race blanche est coupable, plus ou moins directement, de toutes les atrocités du monde. Dès lors, quel que soit le groupe que l'on veuille dénigrer, il suffit de détourner la cible sur les Blancs pour que c'en devienne de l'antiracisme. Le deuxième axe est plus simple et plus direct : dénigrer des personnes dont on a la certitude [3] qu'elles sont blanches est être du bon coté de l'antiracisme, c'est répéter la propagande officielle.
En résumé vous pouvez continuer de traiter les blondes de connes : c'est bien sûr faux, mais ça vous met du bon coté politique. En le faisant, vous montrez clairement à tous votre soumission aux diktats officiels, vous vous inscrivez dans le grand mouvement antiraciste qui construit l'avenir de notre continent. En d'autres termes : vous vous protégez. C'est une raison suffisante, n'est-ce pas ? [4]
 
NOTES :
  1. Pour 50% de femmes au sein de la population. Remarque : j'ai lu une fois (mais ai perdu la référence) que cette différence est inversée chez les Afro-Américains (à vérifier).
  2. Sur l'existence ou inexistence des races, voir : Evoweb : Races, racisme et Evopsy du 12 octobre 2004
  3. Quasiment personne en France ne connaît l'existence des Aborigènes blondes, le risque d'être accusé de racisme est donc faible.
  4. Le même procédé peut d'ailleurs être étendu aux hommes blonds : Steve Sailer remarque qu'en plus de la Ben Stein's Law ("in any Hollywood whodunit, the whitest, richest and most respectable character usually turns out to be the bad guy"), au cinéma le méchant est généralement le blond. Voir aussi les compléments de Jim Bowery.

  ©Philippe Gouillou