Nous avons déjà vu que ce journal détenu par la famille Baylet poursuit une campagne de dénigrement sur plusieurs registres contre les personnes blondes.
cf. http://semeiologia.over-blog.fr/2013/12/racisme-subtil-par-la-d%C3%A9p%C3%AAche-du-midi.html
En plus d'être un des seuls médias importants en France à publier des "blagues blondes" régulièrement, il associe systématiquement les images de personnes blondes à des circonstances dépréciatives, négatives ou angoissantes.
cf. http://semeiologia.over-blog.fr/2013/11/jean-nicolas-baylet-est-il-raciste.html
C'est ainsi que dans l'article ci-dessous qui rend compte d'une situation mondiale particulièrement dramatique, la photo d'illustration nous présente une jeune femme blonde, à l'expression douloureuse, comme si elle venait tout juste de recevoir une bonne correction.
Rappelons tout d'abord que les femmes blondes au teint clair
représentent une toute petite minorité sur cette petite planète, moins
de 1 % de la population mondiale. De plus, le corps de l'aticle parle
principalement de l'Afrique et du monde musulman .
Nous sommes bien en présence d'une stratégie de propagande
particulièrement vicieuse de la part de ce torchon journalistique , et
qui de plus se déroule sur un temps long, ce qui démultiplie son
efficacité en imposant volens nolens ce stéréotype discriminatoire à l'ensemble de son lectorat.
Violences sexuelles : 93% des agressions sont conjugales
Actu Santé
Dans le monde, 1 femme sur 3 a été victime de violences conjugales
au moins une fois dans sa vie. Dévoilé le jeudi 20 novembre dans la
revue américaine The Lancet, ce chiffre édifiant rappelle trois
urgences : mieux détecter les situations à risque, renforcer la prise en
charge des femmes et jeunes filles vulnérables et inciter les autorités
à renforcer leurs interventions sur le terrain.
Cette dernière décennie, les autorités sociales et sanitaires ont certes pris conscience de l’urgence à aider les femmes victimes de violences. De plus en plus, des textes de loi s’emparent de cette problématique. Le tissu associatif intervenant auprès des victimes ne fait que s’étendre. Mais ces progrès ne permettent pas d’enrayer ce fléau.
« Malgré l’intention générale portée par la société sur cette question, le taux de femmes confrontées à ces agressions ne cesse de prendre de l’ampleur », décrivent par ailleurs les auteurs de la synthèse d’études publiée dans The Lancet. Ainsi, à travers le monde, un tiers des femmes a déjà été victime de sévices, perpétrés par leur partenaire. « Dans 7% des cas répertoriés, l’agression physique et/ou sexuelle provenait d’un parfait étranger ».
Trois millions d’Africaines mutilées
Entre 100 et 140 millions de femmes auraient subi une mutilation génitale. « Parmi ces victimes, 3 millions vivent en Afrique ». Par ailleurs, pas moins de 70 millions de mineures – victimes de manipulation morale – ont été mariées précocement et de force.
Un bilan des plus rudes, et pourtant ces chiffres seraient bien en deçà de la réalité. Dans les pays développés notamment, beaucoup d’agressions passent inaperçues. Victimes souvent envahies par la peur, nombreuses sont les femmes qui n’osent pas dénoncer leur agresseur, et restent dans le silence. Raison pour laquelle il est urgent de « lutter pour l’égalité des genres afin d’aider les femmes exposées à cette discrimination trop souvent invisible ».
Mais certains obstacles perdurent. Les ressources financières manquent pour que les médecins et les acteurs sociaux (assistants sociaux, psychologues…) viennent effectivement en aide à toutes les femmes. Enfin, « la plupart des gouvernements ne se donnent pas suffisamment les moyens d’intervenir », expliquent les experts de l’OMS. « Des textes sont écrits, mais il faut maintenant investir sur le long terme : consacrer un budget suffisant afin de prévenir le risque de violences et mieux accompagner les victimes ».
Cette dernière décennie, les autorités sociales et sanitaires ont certes pris conscience de l’urgence à aider les femmes victimes de violences. De plus en plus, des textes de loi s’emparent de cette problématique. Le tissu associatif intervenant auprès des victimes ne fait que s’étendre. Mais ces progrès ne permettent pas d’enrayer ce fléau.
« Malgré l’intention générale portée par la société sur cette question, le taux de femmes confrontées à ces agressions ne cesse de prendre de l’ampleur », décrivent par ailleurs les auteurs de la synthèse d’études publiée dans The Lancet. Ainsi, à travers le monde, un tiers des femmes a déjà été victime de sévices, perpétrés par leur partenaire. « Dans 7% des cas répertoriés, l’agression physique et/ou sexuelle provenait d’un parfait étranger ».
Trois millions d’Africaines mutilées
Entre 100 et 140 millions de femmes auraient subi une mutilation génitale. « Parmi ces victimes, 3 millions vivent en Afrique ». Par ailleurs, pas moins de 70 millions de mineures – victimes de manipulation morale – ont été mariées précocement et de force.
Un bilan des plus rudes, et pourtant ces chiffres seraient bien en deçà de la réalité. Dans les pays développés notamment, beaucoup d’agressions passent inaperçues. Victimes souvent envahies par la peur, nombreuses sont les femmes qui n’osent pas dénoncer leur agresseur, et restent dans le silence. Raison pour laquelle il est urgent de « lutter pour l’égalité des genres afin d’aider les femmes exposées à cette discrimination trop souvent invisible ».
Mais certains obstacles perdurent. Les ressources financières manquent pour que les médecins et les acteurs sociaux (assistants sociaux, psychologues…) viennent effectivement en aide à toutes les femmes. Enfin, « la plupart des gouvernements ne se donnent pas suffisamment les moyens d’intervenir », expliquent les experts de l’OMS. « Des textes sont écrits, mais il faut maintenant investir sur le long terme : consacrer un budget suffisant afin de prévenir le risque de violences et mieux accompagner les victimes ».