mercredi 11 décembre 2013

Josselin Bordat, raciste et ricanant



                        Les lecteurs de ce blog ont  pu observer au fil du temps que l'extrême gauche honnit les femmes blondes;  elles sont une cible privilégiée pour des insultes raciales autorisées.

 
                      Voici donc un article paru dans Brain Magazine, un magazine qui tente de ressusciter avec plus ou moins de bonheur les revues underground des années soixante-dix. http://www.brain-magazine.fr/article/page-president/16879-Raciologie-de-l_extr%C3%AAme-droite-fran%C3%A7aise


  • Anais Carayon
  • Chef du magazine Brain.

 Photobucket


La chef de Josselin Bordat





Josselin Bordat, un gentil raciste (Ne pas confondre avec les méchants racistes)


                      Essayant péniblement d'être amusant, Josselin Bordat applique à ce qu'il appelle "l'extrême-droite" des théories raciales du dix-neuvième siècle pour ridiculiser ce qu'il croit être la thèse de ses adversaires politiques. Ces théories, largement discréditées, lui semblent prouver l'inanité intellectuelle  de ses opposants.

                   On peut relever plusieurs constantes dans ce genre de littérature : 




- La volonté d'animaliser les opposants politiques, en fait de leur retirer la pleine qualité humaine, avec pour conséquence de leur retirer la pleine protection due à leur humanité : Vous ne pensez pas comme Josselin Bordat, donc vous êtes des animaux et si vous vous obstinez, l'abattoir pourrait  bien se réouvrir pour des untermensch (1) de votre espèce.
Il est connu que Pol Pot, formé à la  théorie politique par l'extréme gauche française s'est livré à des travaux pratiques à son retour au Cambodge, qui ont entraîné +/- 3 500 000      d' assassinats politiques. Dans les deux cas, on retrouve la même volonté de déshumaniser les opposants  politiques et une filiation idéologique identique.:



- La confusion sexuelle comme paradigme de l'humanité, qui devient une valeur au delà du bien et du mal, un horizon ontologique du fait humain. Pourquoi ? Parce que (2).



- La détestation des femmes blondes
 Il est permis de représenter une femme blonde à la condition de la ridiculiser et/ou de l'insulter: Le stéréotype est qu'une telle femme n'est pas respectable par essence.

Extrait :"Marine Le Pen, Présidente du Front National.
Un beau type d’homo europeanus nordique : blondeur, robustesse, et phallus hypertrophié. Tout au niveau raciologique indique dévouement et brutalité. Point faible : une dentition gâtée par une alimentation faite de bambous et d'animaux morts. "


Extrait " Marion Maréchal-Le Pen, députée de Vaucluse.
A priori une femelle blanche caucasique remarquable sur le plan raciologique, ainsi que des capacités reproductives assurées par deux larges pis mamaires. Malheureusement un défaut de parallélisme des axes visuels (strabisme convergent) indique une dégénérescence du patrimoine génétique."

Comment Brain Magazine voit les personnes blondes, quelques exemples : http://www.brain-magazine.fr/article/page-pute/16919-Des-vedettes-crois%C3%A9es-avec-Gollum









- Les accusations de consanguinité contre les opposants (France moisie, etc...) pour mieux rester dans le domaine zoologique et  mieux les ravaler à des animaux tarés.
(En réalité, on sait maintenant, avec les progrès de l'analyse génétique, que les européens ont un patrimoine génétique remarquable par sa diversité et sa richesse).


                                Bref, Josselin Bordat essaie d'utiliser la dérision, l'humour, l'ironie et le sarcasme pour faire passer des idées nauséabondes , en s'en prenant à une minuscule minorité dans ce pays et sur cette petite planète. L'abjection de ces procédés suffit à caractériser de tels individus.





(1) Ou bien "ennemis de classe", ou bien "capitalistes", ou bien "intellectuels dissidents", ou bien "ennemis du peuple", etc... Tout ce qui a permis de théoriser et  de justifier les immenses entreprises de meurtres collectifs vues dans le passé.
(2)  C'est comme ça, ne cherchez pas à comprendre.





Voici donc ce concentré de propagande  :






Raciologie de l'extrême-droite française

Lundi, 09 Décembre 2013
Table simplifiée des types raciaux humains, de l'extrême-gauche à l'extrême-droite.


Dans la polémique soulevée par les injures raciales proférées contre Christiane Taubira, une question primordiale est restée impensée : pourquoi les racistes seraient-ils les seuls à disposer de la science raciale pour évaluer les mérites des acteurs politiques ?

A Brain, nous avons donc décidé de nous replonger dans les écrits de Gobineau, Lombroso, Vacher de Lapouge, ou encore Rosenberg, pour vous livrer en exclusivité la première analyse raciologique précise des principaux leaders de l’extrême-droite aujourd’hui. Car enfin si vous devez suivre un leader de cette tendance politique, autant savoir s'il vaut vraiment quelque chose sur le plan racial.

Qui ressemble à un castor sodomite ? Qui a un angle facial de crapaud ? Qui n’a pas assez de menton pour prétendre un jour commander à autre chose qu'à ses copines de la gym ? Grâce à la science raciale, à la physiognomonie, à la céphalométrie et à l'anthropo-sociologie criminelle, nous sommes enfin en mesure de répondre à ces questions.



Alain Soral, sociologue.
Le type est incontestablement simiesque (chimpanzé ou macaque) mais mâtiné de race jaune et mongolique. Résultat : une facilité à accepter des rôles secondaires et un naturel laborieux. Sur le plan éthologique, l’individu emprunte aussi aux babouins une propension symbolique à exposer systématiquement son anus en public et à argumenter en demandant à autrui de "tirer sur son doigt".


Patrick Buisson, conseiller politique.
L’angle facial de 45° matérialise une relative inaptitude à apprendre. Les yeux exhorbités typiques des grenouilles-taureau ont pu provoquer une saturation du volume cranien n’ayant pas permis au cerveau de se développer normalement. Le sujet ne possède pas de menton et est donc enclin à des attitudes "féminines".


Marine Le Pen, Présidente du Front National.
Un beau type d’homo europeanus nordique : blondeur, robustesse, et phallus hypertrophié. Tout au niveau raciologique indique dévouement et brutalité. Point faible : une dentition gâtée par une alimentation faite de bambous et d'animaux morts.





Alexandre Gabriac, militant nationaliste.
L'angle facial avoisine les 60°, indiquant une position intermédiaire entre l'homme blanc et le chimpanzé. Le sujet est enclin à la brutalité et au jet d’excréments, ce que confirme par ailleurs l’important prognathisme “autrichien” ou “habsbourgeois”, malformation généralement due à un lignage consanguin.



Florian Phillipot, vice-président du Front National.
L’oeil est bovidé et fuyant, la couleur de l’épiderme peu assurée. Le menton et l’angle facial portent les stigmates d’un métissage sémitique patent. Si l'on y ajoute les joues de rongeurs, on peut conclure à un type racial sémitique primitif et nomade.


Xavier de Bongibault, militant anti-mariage pour tous.
L’angle facial indique une régression évolutive nette. L’implatantion dentaire est anarchique et anormale, et plus généralement, la ressemblance à un cricetinae (plus précisément : hamster) incline à diagnostiquer un comportement sociopathique et non reproductif (tendance à "tourner dans sa roue").



Alain Escada, lobbyiste.
La forme de la tête est typiquement brachycéphale (ronde, crâne très court). Le type racial semble métissé de race jaune ou mongolique. La longueur excessive des bras confirme le cousinage batracien, signe d’un patrimoine génétique caractéristique des pédérastes et des criminels sexuels.



Marion Maréchal-Le Pen, députée de Vaucluse.
A priori une femelle blanche caucasique remarquable sur le plan raciologique, ainsi que des capacités reproductives assurées par deux larges pis mamaires. Malheureusement un défaut de parallélisme des axes visuels (strabisme convergent) indique une dégénérescence du patrimoine génétique.


Jean-Marie Molitor, directeur de la rédaction de Minute.
Un cas typique d’Homo contractus, ou "méditerranéen" (type niçois ou andalou) de race inférieure. Incapables d’imagination ou de faculté créative, le sujet “contractus” se comporte socialement sur le modèle du bousier : il pousse et mange sa crotte.

Fin de document



Le coin de la lectrice :

Votre blog a mis ses meilleurs éléments sur la piste et retrouvé une ancienne camarade de lycée de Josselin Bordat, Stéphanie.






      "Josselin Bordat ? Mais oui, je me souviens ! A l'époque on l'appelait Jojo ou  Mister  râteau, parce que les filles n'arrêtaient pas de le jeter. C'est à dire qu'il aimait beaucoup arracher les ailes des papillons, blesser des petits mammifères  et observer leur agonie...  et puis sa passion pour la taxidermie ! Toujours cette  vieille odeur de formol qu'il traînait avec lui!En plus, je reconnais son chapeau; c'est le même qu'au lycée ! Il avait  étranglé à mains nues une vieille marmotte avant de l'écorcher à vif . Beurk ! Surtout ne lui donnez pas mon adresse !"   "    Stéphanie T., a connu Josselin Bordat au Lycée.       



                    

mardi 3 décembre 2013

Christiane Taubira cautionne-t-elle des propos racistes ?




                    Les obsessions raciales de "La  dépêche du Midi"  refont surface, avec une continuité familiale inébranlable,  du père Jean- Michel Baylet (Président du PRG et propriétaire dudit journal) à son  fils Jean Nicolas Baylet. Dans cette feuille de chou locale, il est recommandé de traiter certaines femmes de demeurées, d'humilier certaines femmes choisies sur des critères raciaux, parce qu'elles sont femmes et parce qu'elles sont blondes.  cf   http://www.ladepeche.fr/loisirs/blagues-mail/

                    On notera la cohérence de l'analyse http://semeiologia.over-blog.fr/article-antiracisme-anti-blond-114715968.html qui démontre le lien étroit, pour ainsi dire idéologique, entre "l'antiracisme" officiel et la détestation des femmes blondes. En effet, le Parti Radical de Gauche, le PRG, hurle sur tous les tons son propre anti-racisme (1) et dans le même temps son président et sa famille insultent certaines femmes sélectionnées sur des critères raciaux. Force est de constater qu'il s'agit d'une discrimination raciale insupportable, qui tend à cultiver et développer des stéréotypes nauséabonds .



(1) cf. les activités de propagande de Christiane Taubira, qui appartient elle aussi au PRG





jean-Michel Baylet (à gauche) et Jean-Nicolas Baylet (Le petit brun à droite) sont-ils racistes, ou bien simplement haineux  suite à des "accidents de la vie" ?





Le coin de la lectrice :



"Ohé, les deux affreux ! un petit message pour vous : Les blondes vous emmerdent !" Magali, chauffeur de bus, mariée,  deux enfants, Lyon

mardi 19 novembre 2013

Riche, célébre ...et harceleur de femmes blondes




                Voici donc un intéressant article de Première, où la vérité apparaît près de 50 ans (cinquante ans !) après les faits: Alfred Hitchcock , qui était obsédé par les femmes blondes et glaciales, a ruiné délibérément la carrière d'une femme parce qu'elle se refusait à lui.



                    Grâce à ces révélations, le portrait robot des harceleurs des femmes blondes commencent à se dessiner : Une tête d'otarie suralimentée et lippue, totalement dénué de scrupules, caressant des idées de meurtres sanglants et les faisant jouer par d'autres, frénétique dans le harcèlement moral et sexuel, cherchant à humilier et soumettre une femme parce que femme et parce que blonde, ...

                        En fait, c'est bien ce genre d'individu qui est rentré dans nos vies grâce aux écrans de cinéma puis de télévision; c'est bien ce genre d'ordure humaine qui a construit, pour  partie, l'image de "la blonde", telle que nos sociétés la connaissent et dont sont victimes encore de nos jours les femmes aux cheveux clairs.  Ils ont créé une pollution rémanente qui continue ses effets longtemps après leurs morts .

                     On notera le contraste entre  cet affreux Hitchcock et la beauté radieuse,  l'immense dignité de Tippi Hedren; elle  reste un exemple de καλοκαγαθία (1) , que ce soit à travers les affres de la jeunesse ou de la vieillesse.





(1) Se dit d'une personne belle et bonne, courageuse et harmonieuse dans le corps et dans l'esprit






Alfred Hitchcock était « maléfique », d’après Tippi Hedren, l’actrice des Oiseaux

05/08/2012 - 07h39
  •  
  •  
  • Alfred Hitchcock était « maléfique », d’après Tippi Hedren, l’actrice des Oiseaux
© Abaca
Tippi Hedren, premier rôle des Oiseaux d’Alfred Hitchcock, révèle que le réalisateur l’avait harcelée sexuellement.
L’actrice Tippi Hedren est revenue sur le caractère du légendaire réalisateur Alfred Hitchcock : à 82 ans, l’actrice participe à la promo de The Girl, un téléfilm produit par la chaîne HBO (Les Sopranos, Game of Thrones) et qui revient sur la genèse du film Les Oiseaux… et sur la relation trouble que le réalisateur (que joue Toby Jones) avec l’actrice (interprétée par Sienna Miller).



A cette occasion, Tippi a déclaré que Hitchcock était « un personnage très triste ». Nathalie Kay Hedren, dite Tippi, a commencé dans le mannequinat avant d’être remarqué par Hitchcock qui cherchait l’actrice principale de son film Les Oiseaux, en remplacement de Grace Kelly. La passion dévorante de Hitch pour les actrices blondes et glaciales et le refus de Tippi de céder à ses avances fit du tournage des Oiseaux (où des volatiles se mettent à attaquer les hommes) une épreuve pour l’actrice. « On parle d’un esprit brillant, qui était d’un génie hors du commun, maléfique, et déviant, au point d’en être dangereux, parce qu’il pouvait avoir un effet imprévisible sur certaines personnes. » Une obsession qui aurait viré au harcèlement, car Hedren précise que si les lois sur le harcèlement avaient existé à l’époque, elle serait « une femme riche » aujourd’hui. L’affiches des Oiseaux comporte d'ailleurs la photo de Tippi en médaillon, accompagnée de la légende « une nouvelle personnalité fascinante ». Sans commentaire…



Après Pas de printemps pour Marnie (1964), où elle joue pour Hitch une kleptomane face à Sean Connery, Hedren ne trouve pas de travail car le réalisateur la garde sous son pouvoir, en informant les autres réalisateurs qu’elle n’est pas disponible. L’actrice finit donc par s’éloigner du réalisateur. « Il a ruiné ma carrière, mais il n’a pas ruiné ma vie », conclut Hedren, qui est également connue pour être la mère à la ville de l’actrice Melanie Griffith.
Si le téléfilm The Girl dépeint Hitchcock comme un pervers, qu’en sera-t-il du film Hitchcock (prévu pour 2013) où le rôle-titre sera tenu par Anthony Hopkins, et qui retrace le tournage de Psychose et de sa fameuse scène de douche ? Wait and see.

dimanche 10 novembre 2013

Jean-Nicolas Baylet de La Dépêche du Midi, est-il raciste ?



                Jean-Nicolas Baylet est le fils de Jean-Michel Baylet, lui-même patron de presse et homme politique français. Président-directeur général du groupe La Dépêchesénateur RDSE de Tarn-et-Garonne, président du conseil général de Tarn-et-Garonne, président de la communauté de communes des Deux Rives et président du Parti radical de gauche (PRG).
 
                         Dans une progression fulgurante et pour ainsi dire météoritique, Jean-Nicolas  a été bombardé à 28 ans directeur général adjoint du groupe et directeur de la publication de la Dépêche du Midi, et c'est à ce titre que nous devons lui poser la question : Est-il encore possible, en 2013, d'insulter certaines femmes sur des critéres raciaux ? Pensez-vous qu'il soit humainement acceptable d'humilier certaines femmes choisies sur des critères physiques pour amuser la galerie, vendre un peu plus de papier  et faire un peu plus de fric?


                     En effet, après une courte accalmie, la campagne de presse contre les personnes blondes http://www.ladepeche.fr/loisirs/blagues-mail/  a repris de plus belle dans cet organe de presse unique.

                          Ce flot d'insultes est devenu inacceptable, et nous autorise légitimement à poser la question publiquement  : Jean-Nicolas Baylet est-il raciste ou bien est il tout simplement inconscient ?
                 
                


jean-Nicolas Baylet, au centre (C'est le petit brun en noir avec l'oreillette)

jeudi 7 novembre 2013

Regis Shultz (Darty) et Jean-Philippe Marazzani (Darty), racistes ou stupides ?



                 La campagne publicitaire de Darty est absolument répugnante. Comment, en 2013, en France,  peut-on insulter publiquement des femmes en raison de leur apparence  ?


               La dénonciation par Caroline de Haas de cette propagande semble bien isolée, mais reste quand même un exemple de dignité et de respect pour les femmes.
 
                           Voici donc un article de Auféminin.com, link , qui restaure un peu l'honneur de la presse française, mais qui évite la question essentielle : Darty est-elle une société raciste ?
 
 
 
 

Sexisme : Darty s’attaque aux blondes (Photos)

 
 
 
     
Darty Darty a décidé de donner un coup de jeune à son image. Fini la petite camionnette blanche et rouge, place aux jeunes couples branchouilles qui vantent en noir et blanc les mérites de la marque d’électroménager.
« Le prix bas service compris » remplacera donc « Le contrat de confiance », si familier pour les clients de la marque. Darty prend le tournant numérique de l’ère 2.0 en axant sa communication sur son offre large et ses prix défiant toute concurrence, y compris ceux du web. « La nouvelle campagne est le véritable reflet de la stratégie de dynamisation amorcée depuis plusieurs mois » explique Jean-Philippe Marazzani, directeur marketing et digital avant d’ajouter « Darty se place comme une marque résolument dans l’air du temps et plus que jamais à l’écoute des besoins de ses clients ».
 

Darty, l’humour douteux ?

La nouvelle campagne d’affichage dépoussière peut-être Darty, mais elle fait éternuer les féministes qui ont tiqué devant l’un des visuels. La militante Caroline De Haas a ainsi jeté la première pierre à cette campagne qu’elle juge « sexiste ». En cause ? Un slogan qui se veut humoristique, mais qui reprend le préjugé insinuant que les femmes blondes sont stupides : « Face à la technologie, on est tous un peu blonde », accolé à l’image d’un homme perplexe.
Il n’en fallait pas plus à Caroline De Haas pour s’insurger, suivie par de nombreux internautes abondant dans son sens face au géant de l’électroménager. « Cher @Darty_Officiel, les blondes vous emmerdent. Et votre sexisme avec. » a ainsi twitté la féministe. Du côté de Darty, on tente de se dédouaner en faisant appel au répertoire commun : « A propos du visuel "On est tous un peu blonde" : A marque populaire, expression populaire. »
En marge de cette bataille qui aura servi le buzz autour de la campagne de Darty, il y a ceux qui s’amusent de cette image modernisée un brin hipster. Un Tumblr a même été créé pour laisser libre cours aux parodies les plus amusantes…
Et puis, il y a aussi ceux qui ne comprennent rien du message des slogans et avec qui on compatit.(...)

 
 Régis Schultz, président de Darty : Est-il raciste ou simplement débordé par un entourage douteux ? 




















Jean-Philippe Marazzani, DG de Darty :  Est-il raciste ou simplement inconscient ? 











Le coin de la lectrice :

" Ces deux personnages ne sont pas gâtés par Dame Nature, mais est ce une raison pour insulter des femmes sur des critères physiques ?"  Angelica B., vit en couple, 3 enfants, travaille à la Poste.


.

mercredi 25 septembre 2013

Flore Segalen et Jérôme Bureau sont-ils racistes ?


                                                   Voici donc un article venimeusement raciste de M6 et MSN.fr, où un critére physique est utilisé pour ridiculiser une femme;  cette  insulte raciale, qui vise à faire passer les femmes blondes pour des demeurées, est une discrimination  inacceptable.
 
                                        Imaginerait-on un journaliste à l'affût d'un lapsus de la garde des Sceaux, Mme Taubira, et sautant sur l'occcasion pour écrire un article sur "la minute crépue" ?
 
                                         L'article de MSN.fr est d'autant plus vicieux que la  phrase qui sert de pretexte à cette loghorrée haineuse ( "c'est la méthode  Cauet" ) reléve plus du clin d'oeil jouant sur l'homophonie et la notion de "société du spectacle" que du lapsus trahissant une véritable ignorance.
 
 
 
 
La directrice de MSN France, Flore Segalen : Est-elle vraiment raciste ?
Cautionne-t-elle des insultes raciales ou est-elle simplement incompétente ?
 
 
 
 
 
Le directeur de l'info sur M6, Jérôme Bureau : Est-il vraiment raciste ?
Cautionne-t-il des insultes raciales ou est-il simplement incompétent ?
 
 
 
 
 
Voici donc l'article  :
 
 
 
 
 
M6 Info by MSN
La minute blonde de Marion Maréchal Le Pen
 
Reuters
 
 
C'est une erreur qui fait couler beaucoup d'encre : invitée sur un plateau de télévision pour parler de l'affaire du bijoutier de Nice et de la légitime défense, Marion Maréchal-Le Pen a confondu la "méthode Cauet" - nom d'une ancienne émission de divertissement - et la "méthode Coué" - approche de la pensée positive élaborée par Émile Coué au début du XXe siècle . Oups.
Alors que son interlocuteur, le socialiste André Vallini, sénateur de l'Isère, défendait la politique pénale du gouvernement, assurant que "la gauche naïve, c'est fini", la député FN du Vaucluse l'a accusé de pratiquer "la méthode Cauet".
Enfant de la télé
Si le "lapsus" n'a pas été relevé à l'antenne, il a évidemment fait bondir les internautes :
- "Marion Maréchal-Le Pen confond «méthode Cauet» et «méthode Coué»." Visiblement, c'est Jean Roucas qui la coache."
Ou encore
- "Calamity #marechallepen : un Deug de droit et une méthode Cauet... #parishilton #fn #MotsCroises"
Et
- Plus fort que le "Zadig et Voltaire" de F.Lefebvre, le discours de la "méthode Cauet" de Marion Maréchal-Le Pen.
 

mardi 24 septembre 2013

La SMEREP, une mutuelle raciste ?

Une mutuelle étudiante, la SMEREP, a fait réaliser une série de courts métrages publicitaires et s'est vu refuser le droit de l'utiliser car elle dévalorise  et insulte "les femmes et les personnes de couleur noire" (cf. ci desous un extrait de la décision du Jury de Déontologie de la Publicité , le JDP).
 
                           Cette campagne nauséabonde devait cesser; mais on notera que le stéréotype de la blonde stupide est assimilé dans cette décision à une insulte envers toutes les femmes, alors que les insultes envers les noirs sont clairement désignés comme racistes. Or, ce qui devrait apparaître encore plus clairement, c'est qu'une une insulte envers une femme blonde est avant tout une insulte raciale.  Sinon, l'analyse du JDP indiquerait que les femmes noires ne seraient pas des femmes au même titre que les femmes blondes, soit une analyse encore plus raciste que celle des clips.
 
                               A noter cependant, et c'est encourageant, de bonnes choses dans la décision du JDP, qui s'approche de la vérité, et qui dit sans le dire tout en le disant que les insultes dirigées contre les femmes blondes sont inacceptables.    link
 
 
 
 
20/09/2013 - Interdiction de la campagne de PUB SMEREP « Vos Bonnes Raisons » :

EXTRAIT de la décision du JDP (Jury de Déontologie Publicitaire) sur la campagne de Pub SMEREP "Vos Bonnes Raisons" :
"Au-delà de présenter des stéréotypes sociaux, la publicité en cause, sous couvert d'humour, utilise ceux qui sont les plus dévalorisants et insultants pour les femmes et les personnes de couleur noire tout en donnant de la jeune génération une idée d'ensemble réductrice et négative.

Le fait que certaines personnes puissent interprêter ces films avec distance et y trouver à sourire n'en atténue pas pour autant le caractère dévalorisant ainsi relevé."
 

 
 
La SMEREP est-elle raciste ?

jeudi 12 septembre 2013

Racisme anti-blondes : les 7 stéréotypes



  Nous avons déjà eu l'occasion d'évoquer les stéréotypes racistes à l'encontre des femmes blondes :


 
                                       - les blondes, c'est toutes des nymphos
                                        - Les blondes sont stupides (Blonde = conne)
                                        - Qui voudrait d'une sale blondasse pour mére ?
                                             - Il est fortement recommandé, en France,  en 2013, de ne pas représenter dans la sphére publique ou utiliser dans la communication un couple où les deux partenaires seraient blonds aux yeux bleus. En effet, ça pourrait choquer certains. Tous les autres cas de figure sont corrects, mais, celui-là, non.
                                           - Les blondes sont dangereuses pour les autres femmes, car les hommes   sont violemment attirés par elles.
                                             -  Les blondes sont incapables d'être fidéles  puisque ce sont des nymphomanes.
                                            - Et, en plus, les blondes, c'est toutes des racistes !
 
 


 
 
                      A la relecture de ces accusations publiques, on imagine le degré de haine et d'envie des ordures humaines qui ont créé ces stéréotypes; on peut lire dans leurs délires de sociopathes la projection de  leurs propres vices, mais surtout la volonté de détruire leurs victimes.
 
 


         Personnellement, je préférerais que ce soit eux qui disparaissent; pas vous ?

 
 
 
                       Voici donc, pour la éniéme fois, un amorçage de stéréotype raciste contre les personnes blondes, rédigé par une "journaliste santé", Aurélie Blaize, pour un journal destiné au 3éme âge. Procédé d'autant plus vicieux que la plupart des lecteurs ne retiendront que le titre, parfaitement calibré pour confirmer le stéréotype de "la blonde", femme mauvaise et infidèle.  Elle y rend compte avec une naîve pétulance d'un sondage douteux  réalisé pour une société particulièrement glauque , Gleeden.
 
                        De manière à faire des économies, Gleeden a interrogé ses propres clients, ce qui enlève toute crédibilité  à l'enquête. En effet, les individus  fréquentant ce site forment  une magnifique collection de détraqués et de neurasthéniques, qui, de plus, ont tout intérêt à mentir pour éviter d'être reconnus. Le sondage étant déclaratif, on imagine la sincérité des  pervers répondant au téléphone tout en se tripotant et choisissant leurs réponses dans leurs imaginaires maladifs.


                  Mais revenons à la "journaliste-santé", spécialisation 3éme âge.
 


 
                       Aurélie Blaize serait-elle raciste ? Sinon comment appeler le fait de stigmatiser en gros titre,  une fois de plus,  certaines femmes sur la base d'un critère physique, d'une différenciation ethnique ?


 
                Aurélie, si tu nous écoutes, ignores-tu  que le racisme , c'est pas beau ?
 
 
 
 
 
                                                   ______________________________________________
 
 
 
 

La femme infidèle est blonde dans 36% des cas

Réagissez ! - 4 commentaires
Un sondage mené par le site de rencontres extraconjugales Gleeden.com révèle que la majorité des femmes françaises infidèles sont... blondes !
blonde infidele
Publicité
En matière d'infidélité, certaines femmes seraient plus aventurières que d'autres ! Du moins, c'est ce que laisse penser un sondage mené par le site de rencontres extraconjugales Gleeden.com. Après avoir interrogé plus de 2000 Français inscrits, celui-ci révèle que la femme infidèle est blonde dans 36% des cas, châtain dans 29%, brune dans 21%, rousse ou auburn dans 10%, et poivre et sel dans 2%. Plus loin encore, le sondage montre que 51% des femmes infidèles ont les yeux marrons, 28% les yeux bleus, 11% noisettes, 7% verts et 3% noirs. En conclusion, les blondes aux yeux marrons sont celles dont il faut surtout se méfier !
L'homme infidèle est souvent châtain aux yeux marrons
Chez les hommes volages aussi, on trouve certaines caractéristiques physiques. Le sondage de Gleeden montre que 34% des infidèles ont les cheveux châtains, 26% bruns, 19% poivre et sel, 18% blonds, et 2% roux. Quant à leur couleur d'yeux, pour 44% ils sont marrons, pour 31% bleus, pour 13% noisette, pour 8% noir et pour 4% vert ! Quelles femmes préfèrent-ils ? "La gent masculine adepte des galipettes clandestines serait avant tout en quête d’une maîtresse blonde (37%). La chaleur incandescente d’une "crinière" rousse chatoyante, presque animale, ferait fondre près d’un répondant sur quatre (23%). Les brunes mystérieuses envouteraient 22% du panel lorsque 14% recherchent avant tout à batifoler avec une maîtresse à la toison châtain" explique Gleeden.
 
Source : Sondage Gleeden.com réalisé en ligne du 15 au 24 juillet 2013 sur un échantillon de 2028 français (1017 femmes et 1011 hommes) mariés ou en couple ayant déclaré au moins une infidélité. Selon les questions, échantillonnage en fonction de la couleur de cheveux déclarée. Seuls les votes supérieurs à 4% sont cités.

dimanche 1 septembre 2013

Meltycampus raciste ?


 


    La rédactrice en chef de Meltycampus, Hinde Mebarkia,
Est-elle raciste ?
 
 
 
 
 
 
 
                      Trouvé une fois de plus chez Melty (Décidément !) un amorçage de stéréotype raciste contre les femmes blondes.  Ce site fait preuve d'une certaine confusion mentale comme vu ci-dessous, mais quelques  obsessions surnagent dans ce magma.
 
                       C'est ainsi que le titre de l'article parle des fraternités étudiantes, mais développe dans le corps du texte un "scandale" qui a eu lieu dans une émission télévisée aux USA, BigBrother, rassemblant quelques jeunes gens désœuvrés et qui à première vue ont peu de chance de décrocher le Prix Nobel.
 
                       La "journaliste", en plus "d'observer des paroles",  commet d'autres quiproquos (Ah, ces stagiaires non-rémunérés !) et attribue à Gina ce qui est dû à Aaryn Gries. En fait, la belle Gina a déclaré que les assurances sociales étaient des "assurances pour nègres"  (Nigger ou nigga) ce qui a donc entraîné un "scandale" et son renvoi professionnel, on pourrait dire sa mort sociale accompagnée d'une mise au pilori. A noter qu'aux USA, les blancs n'osent même plus prononcer le mot entier, eu égard à la susceptibilité explosive des afro-américains, mais disent le n-mot. (N-word). Par contre, si le locuteur est un afro-américain, cela est permis.
 
                       Le scandale, plus ou moins fabriqué, sert en définitive à augmenter l'audience de ce programme pour sous-doués dotés d'un QI d'acarien.


 
                    Il n'en reste pas moins que Meltycampus utilise une caractéristique physique (la blondeur), pour stigmatiser une personne; Il n'en reste pas moins que Meltycampus, qui ne dénonce jamais le racisme des noirs envers les autres communautés (Et pourtant !) , choisit comme par hasard une femme blonde comme personnage raciste, alors que ce rassemblement  de jean-foutres filmé 24h sur 24 a été émaillés de saillies "racistes" et autres amabilités venant de tous côtés.
 
                        C'est ainsi que la légende de la photo devient : "  Gina Marie Zimmerman, la blonde raciste"
 
                         Le racisme étant un délit, et en l'absence d'une condamnation pénale en dernier ressort,  nous constatons que  Melty accuse et juge publiquement une justiciable sans aucun fondement légal . Il s'agit donc d'une diffamation publique, commise par un organe de presse qui salit d'une manière irrémédiable la réputation d'une femme. Procédé d'autant plus vicieux  que Melty s'attaque à une lointaine ressortissante des USA, sans réseaux d'influence ni fortune,  qui doit avoir d'autre chat à fouetter que de poursuivre un journal français.


De plus, on aura les plus grandes difficultés  à voir dans la presse   des titres comme :


                                                                     " Gina, la crépue raciste"
 
                                                                                      ou bien
 
                                                                       "Gina, la frisée raciste"
 
                                                                                      ou bien
 
                                                                     "Gina, la basanée raciste"


 
                         Ce traitement indigne est réservé aux femmes blondes, spécialement dans les diverses émanations de Melty. On peut donc être légitimement amené à se demander si MeltyGroup n'est pas un groupe de presse raciste, concentrant ses attaques raciales contre une minuscule minorité humaine qui de plus,  connaît une baisse démographique constante.


 
                      Pour en revenir à la situation aux USA, il est sans doutes bon de rappeler une statistique peu connue mais très significative (cf. ci-dessous). Sachant que les spécialistes estiment qu'un viol sur 10 fait l'objet d'une plainte, on peut calculer rapidement qu'en 10 ans, plus de 3.700.000 femmes blanches ont été violées par des afro-américains.  Sur ces millions de viols inter-raciaux, quelle est la proportion du mobile raciste ? Quelle est la proportion  de ceux qui ont voulu punir une femme pour ce qu'elle est, pour la couleur de sa peau, pour se venger d'un ressentiment historique soigneusement entretenu ?
 
 
 
 
 


 


 
 
 
 
 
 
 
 
                        Personne ne sait, personne ne veut savoir et aucune étude sur le sujet n'est prévue; dommage pour les victimes innocentes, les vraies.
 




 
 
 
Plus de 37.000  femmes blanches violées par des afro-americains en un an, aucune femme noire violée par un blanc aux USA
 
Ce qu'il y a de bien avec les pays anglo saxons, c'est qu'ils autorisent les statistiques ethniques. Et on trouve vraiment des pépites parmi celles ci. On pourrait en rire, si ce n'était pas aussi tragique.

En effet selon le département américain de la Justice, en 2005, 33,6 % des femmes blanches qui ont été violées, l'ont été par un homme noir (les noirs représentent 12% de la population US). A l'inverse aucun homme blanc n'a violé une femme noire. Pire, la totalité des femmes noires violées l'ont été par un homme noir.

Vous ne vous êtes pas trompé en lisant. Oui vous avez bien lu. Les statistiques officielles sont disponibles ici (table 42).
 
 
 
 
  Voici donc l'article de Yasmine :



 
 

Fraternités étudiantes : Le racisme toléré à l'université du Texas

 
Par YasmineLqr
il y a 17 jours
Dans le dossier

Fraternités étudiantes

6 réactions

Aux États-Unis, le racisme est toujours ancré dans certaines mentalités. C'est ce que prouve la 15ème édition de Big Brother. Explications avec meltyCampus

Voici les candidats à l'époque où tout allait bien..
 
 
jh
 
Quand nous regardons les Anges de la Telé Réalité, qui est aussi le Pôle Emploi des candidats de reality show, on n'a pas forcément l'impression de faire du bien à nos neurones… Mais alors que dire de la 15ème édition de Big Brother, dans laquelle les insultes racistes et homophobes ne cessent de fuser ! Candice Stewart, un ancienne reine de beauté, de 30 ans et Helen Kim une femme politique de 37 ans ont été la cible d'insultes choquantes, qui auraient été punies par la loi en France. Ainsi Gina Marie Zimmermann, qui est étudiante à l'université du Texas, s'est adressée à la candidate asiatique en lui suggérant de leur ''baiser les pieds et servir du riz''. Dans la même lignée on a pu entendre David Girton se plaindre d'une odeur sur ses draps en rejetant la faute sur ''Candice la noire''. Des propos qui ont choqué l'Amérique et qui ont déclenché un véritable tollé sur internet. Pire, la chaîne est accusée d'avoir voulu cacher ses propos racistes. En effet, les candidats sont observables 24h/24h sur internet, du coup ces paroles immondes ont pu être observées par des millions de personnes. Mais le jour d'après dans la quotidienne, CBS n'a pas diffusé, ni même évoqué ces propos.
 
 
big brother racisme candidat télé réalité jeunes étudiants
Gina Marie Zimmerman, la blonde raciste
 
 
Grâce à l'acharnement médiatique, la chaîne a finalement cédé et a diffusé les images choc. Et lors de la sortie du jeu de Candice Stewart, l'animatrice du jeu Julie Chenn a parlé des insultes racistes qui ont été proférées dans la maison. La jeune femme a expliqué que cela révélait un gros problème de société '' J'ai grandi en tant que femme biraciale, et le racisme est encore très répandu aux Etats-Unis aujourd'hui et c'était à l'intérieur de la maison Big Brother". Si ça peut vous rassurer, sachez que justice a été partiellement faite : Aaryn Gries et Spencer Clawson ont été licenciés de leur travail. Ce dernier avait parlé d'Hitler en évoquant son ''talent oratoire'' et en reconnaissant l'efficacité des tortures perpétrées durant sa dictature. Rien d'étonnant quand on sait que le racisme et le Ku Klux Klan refont de plus en plus surface sur les campus américains
 
 
 
 

jeudi 20 juin 2013

Racisme contre les personnes blondes dans La dépêche du Midi de J. M. Baylet




                                Nous l'avons déjà vu, La dépêche du Midi mène depuis des années une campagne de propagande assez nauséabonde contre les femmes et les hommes blonds.  Ce journal, contrôlé et détenu par Jean-Michel Baylet (Président du parti Radical de Gauche),  jouit d'un monopole de fait sur tout un lectorat du sud-ouest de la France. Les habitants du cru, s'ils veulent connaître les chiens écrasés et les vols de pédalos dans leur région, sont tenus de s'informer dans cet organe de presse unique; ils reçoivent à cette occasion de nombreux messages plus ou moins insidieux servant les lubies et intérêts du propriétaire, qui a hérité de ce monopole et de charges électives diverses et variées , d'une manière aussi loyale et démocratique que les bourgs pourris de l'Angleterre du XIXéme siècle.
 
                                   Les obsessions raciales de cet organe, au sens de Soljenitsyne, sont donc rendues obligatoires pour les populations du territoire détenu par ce monopole; sur les 44 dernières livraisons des "Blagues mails" parues dans ce journal   link  , 12 contiennent des insultes raciales contre les personnes blondes, soit 27.27 % du total . On peut mesurer à cette occasion la force de la haine qui anime cet organe pour humilier à ce degré certaines personnes choisies sur des critères raciaux.
 
                                    Or, chose étonnante, la propre mère de Jean-Michel Baylet, Evelyne Baylet link , arbore fièrement une teinture blonde du plus bel effet.
 

 
                                     Y-a-il un règlement de compte psychanalytique d'un fils dominé  par une mère juive trop possessive (1),  peut-être castratrice, dans cette obsession pathologique qui le pousse à insulter les  personnes blondes ?


                                   Dans tous les cas, cette volonté de nuire et d'humilier révèle une personnalité profondément blessée. 
 
 
(1) Evelyne Baylet, née Isaac, est d'origine à la fois séfarade et ashkénaze.




 
 

vendredi 7 juin 2013

Pourquoi les "antiracistes" détestent-ils autant les blondes ?







     Un article percutant du chercheur Philippe Gouillou, où certaines vérités dérangeantes se font jour.






Le QI des blondes

 
 
Il est maintenant considéré que les femmes présentent un QI inférieur d'environ 4 points de celui des hommes (voir Douance), les blondes sont les plus féminines des femmes (voir Pourquoi...) : peut-on en déduire que les blondes ont un QI au ras des pâquerettes ?
Si on en croit la sagesse populaire : oui, ça ne fait aucun doute. Sur la Côte, "Blonde" égale "Conne" et les deux mots sont employés indiféremment pour désigner toute personne victime d'une faiblesse intellectuelle, ne serait-elle que passagère, et cela quel que soit son sexe.
Mais dès lors une question se pose : comment dans un pays où l'antiracisme fait rage et où il est tabou de parler d'origine biologique du QI (alors même qu'à l'étranger les débats sont déjà sur la règlementation de l'utilisation des médicaments augmentant le QI) peut-on affirmer aussi clairement une origine capilaire de l'intelligence ?

 
Reprenons depuis le départ.
Tout d'abord, un calcul rapide montre que cette différence supposée d'intelligence ne tient pas la route et ce pour deux raisons. La première est qu'une différence de 4 points de QI ne se remarque pas au niveau individuel (le QI de chacun, homme ou femme, varie beaucoup plus au long d'une journée). La deuxième est que même si un tel effet était observé, les blondes auraient un QI supérieur à celui de la moyenne de la population mondiale. En effet, dans un pays où la moyenne est de 97 (selon les estimations de Lynn), les femmes y auraient un QI moyen de 95 [1], et au pire les blondes seraient aux alentours de 94... pour une moyenne mondiale (hommes et femmes ensembles) de 90. La soit-disant stupidité des blondes ne peut donc pas se fonder sur des observations empiriques : le mythe vient d'ailleurs.
Ensuite, il est possible que la jalousie des brunes y ait une part. "Blondes have more fun" dit le proverbe et les études ont montré qu'il est valide. Les succès sexuels des blondes sont tels que de très nombreuses femmes vont se décolorer les cheveux (encouragées en cela par la mode récente du sexe rasé : le risque d'être confondue s'évanouit). Mais ce n'est pas une explication suffisante : toutes les blondes ne sont pas belles, et pourtant elles sont toutes dénigrées à un niveau atteint par aucune autre caractéristique physique.
Enfin, les blondes présentent une caractéristique importante : elles sont presque toutes d'origine Européenne. Ce n'est pas tout à fait 100% parce que la blondeur est répandue ches les femmes Aborigènes d'Australie (qui ne présentent aucun signe d'origine Européenne). Peter Frost, PhD remarque :

"Most humans have only one hair color and one eye color. Europeans are a big exception: their hair is black but also brown, flaxen, golden, or red; their eyes are brown but also blue, gray, hazel, or green. This diversity reaches a maximum in an area centered on the East Baltic and covering northern and eastern Europe. If we move outward, to the south and east, we see a rapid return to the human norm: hair becomes uniformly black and eyes uniformly brown."
Why Do Europeans Have So Many Hair and Eye Colors? Peter FROST - Université Laval (Canada)
En bref, hormis Down Under, une vraie blonde est une femme d'origine Européenne, une Blanche.
Nous pouvons maintenant revenir à la question d'origine : comment peut-on dénigrer les blondes dans un pays qui pratique l'antiracisme à haut volume ? N'est-il pas à l'opposé des idéaux d'égalité, de dignité, de tolérance que de dénigrer ainsi un groupe en fonction d'une caractéristique physique ? Pourquoi ce silence des féministes et des antiracistes ?





 


                                            En fait, c'est bien l'antiracisme qui en est à la base, au travers de deux axes qui se renforcent. Tout d'abord, tout groupe souffrant d'une censure trop importante aura besoin de soupapes de sécurité, et pour celles-ci le plus sage est d'utiliser le détournement dans l'expression de ses sentiments réels. Au lien de critiquer un groupe protégé, il suffit de diriger sa critique vers un groupe désigné à la vindicte populaire pour réduire à néant les risques. Or l'antiracisme ne se fonde pas que sur la négation de l'existence des races [2] mais aussi sur l'affirmation que la race blanche est coupable, plus ou moins directement, de toutes les atrocités du monde. Dès lors, quel que soit le groupe que l'on veuille dénigrer, il suffit de détourner la cible sur les Blancs pour que c'en devienne de l'antiracisme. Le deuxième axe est plus simple et plus direct : dénigrer des personnes dont on a la certitude [3] qu'elles sont blanches est être du bon coté de l'antiracisme, c'est répéter la propagande officielle.
En résumé vous pouvez continuer de traiter les blondes de connes : c'est bien sûr faux, mais ça vous met du bon coté politique. En le faisant, vous montrez clairement à tous votre soumission aux diktats officiels, vous vous inscrivez dans le grand mouvement antiraciste qui construit l'avenir de notre continent. En d'autres termes : vous vous protégez. C'est une raison suffisante, n'est-ce pas ? [4]
 
NOTES :
  1. Pour 50% de femmes au sein de la population. Remarque : j'ai lu une fois (mais ai perdu la référence) que cette différence est inversée chez les Afro-Américains (à vérifier).
  2. Sur l'existence ou inexistence des races, voir : Evoweb : Races, racisme et Evopsy du 12 octobre 2004
  3. Quasiment personne en France ne connaît l'existence des Aborigènes blondes, le risque d'être accusé de racisme est donc faible.
  4. Le même procédé peut d'ailleurs être étendu aux hommes blonds : Steve Sailer remarque qu'en plus de la Ben Stein's Law ("in any Hollywood whodunit, the whitest, richest and most respectable character usually turns out to be the bad guy"), au cinéma le méchant est généralement le blond. Voir aussi les compléments de Jim Bowery.

  ©Philippe Gouillou