dimanche 1 septembre 2013

Meltycampus raciste ?


 


    La rédactrice en chef de Meltycampus, Hinde Mebarkia,
Est-elle raciste ?
 
 
 
 
 
 
 
                      Trouvé une fois de plus chez Melty (Décidément !) un amorçage de stéréotype raciste contre les femmes blondes.  Ce site fait preuve d'une certaine confusion mentale comme vu ci-dessous, mais quelques  obsessions surnagent dans ce magma.
 
                       C'est ainsi que le titre de l'article parle des fraternités étudiantes, mais développe dans le corps du texte un "scandale" qui a eu lieu dans une émission télévisée aux USA, BigBrother, rassemblant quelques jeunes gens désœuvrés et qui à première vue ont peu de chance de décrocher le Prix Nobel.
 
                       La "journaliste", en plus "d'observer des paroles",  commet d'autres quiproquos (Ah, ces stagiaires non-rémunérés !) et attribue à Gina ce qui est dû à Aaryn Gries. En fait, la belle Gina a déclaré que les assurances sociales étaient des "assurances pour nègres"  (Nigger ou nigga) ce qui a donc entraîné un "scandale" et son renvoi professionnel, on pourrait dire sa mort sociale accompagnée d'une mise au pilori. A noter qu'aux USA, les blancs n'osent même plus prononcer le mot entier, eu égard à la susceptibilité explosive des afro-américains, mais disent le n-mot. (N-word). Par contre, si le locuteur est un afro-américain, cela est permis.
 
                       Le scandale, plus ou moins fabriqué, sert en définitive à augmenter l'audience de ce programme pour sous-doués dotés d'un QI d'acarien.


 
                    Il n'en reste pas moins que Meltycampus utilise une caractéristique physique (la blondeur), pour stigmatiser une personne; Il n'en reste pas moins que Meltycampus, qui ne dénonce jamais le racisme des noirs envers les autres communautés (Et pourtant !) , choisit comme par hasard une femme blonde comme personnage raciste, alors que ce rassemblement  de jean-foutres filmé 24h sur 24 a été émaillés de saillies "racistes" et autres amabilités venant de tous côtés.
 
                        C'est ainsi que la légende de la photo devient : "  Gina Marie Zimmerman, la blonde raciste"
 
                         Le racisme étant un délit, et en l'absence d'une condamnation pénale en dernier ressort,  nous constatons que  Melty accuse et juge publiquement une justiciable sans aucun fondement légal . Il s'agit donc d'une diffamation publique, commise par un organe de presse qui salit d'une manière irrémédiable la réputation d'une femme. Procédé d'autant plus vicieux  que Melty s'attaque à une lointaine ressortissante des USA, sans réseaux d'influence ni fortune,  qui doit avoir d'autre chat à fouetter que de poursuivre un journal français.


De plus, on aura les plus grandes difficultés  à voir dans la presse   des titres comme :


                                                                     " Gina, la crépue raciste"
 
                                                                                      ou bien
 
                                                                       "Gina, la frisée raciste"
 
                                                                                      ou bien
 
                                                                     "Gina, la basanée raciste"


 
                         Ce traitement indigne est réservé aux femmes blondes, spécialement dans les diverses émanations de Melty. On peut donc être légitimement amené à se demander si MeltyGroup n'est pas un groupe de presse raciste, concentrant ses attaques raciales contre une minuscule minorité humaine qui de plus,  connaît une baisse démographique constante.


 
                      Pour en revenir à la situation aux USA, il est sans doutes bon de rappeler une statistique peu connue mais très significative (cf. ci-dessous). Sachant que les spécialistes estiment qu'un viol sur 10 fait l'objet d'une plainte, on peut calculer rapidement qu'en 10 ans, plus de 3.700.000 femmes blanches ont été violées par des afro-américains.  Sur ces millions de viols inter-raciaux, quelle est la proportion du mobile raciste ? Quelle est la proportion  de ceux qui ont voulu punir une femme pour ce qu'elle est, pour la couleur de sa peau, pour se venger d'un ressentiment historique soigneusement entretenu ?
 
 
 
 
 


 


 
 
 
 
 
 
 
 
                        Personne ne sait, personne ne veut savoir et aucune étude sur le sujet n'est prévue; dommage pour les victimes innocentes, les vraies.
 




 
 
 
Plus de 37.000  femmes blanches violées par des afro-americains en un an, aucune femme noire violée par un blanc aux USA
 
Ce qu'il y a de bien avec les pays anglo saxons, c'est qu'ils autorisent les statistiques ethniques. Et on trouve vraiment des pépites parmi celles ci. On pourrait en rire, si ce n'était pas aussi tragique.

En effet selon le département américain de la Justice, en 2005, 33,6 % des femmes blanches qui ont été violées, l'ont été par un homme noir (les noirs représentent 12% de la population US). A l'inverse aucun homme blanc n'a violé une femme noire. Pire, la totalité des femmes noires violées l'ont été par un homme noir.

Vous ne vous êtes pas trompé en lisant. Oui vous avez bien lu. Les statistiques officielles sont disponibles ici (table 42).
 
 
 
 
  Voici donc l'article de Yasmine :



 
 

Fraternités étudiantes : Le racisme toléré à l'université du Texas

 
Par YasmineLqr
il y a 17 jours
Dans le dossier

Fraternités étudiantes

6 réactions

Aux États-Unis, le racisme est toujours ancré dans certaines mentalités. C'est ce que prouve la 15ème édition de Big Brother. Explications avec meltyCampus

Voici les candidats à l'époque où tout allait bien..
 
 
jh
 
Quand nous regardons les Anges de la Telé Réalité, qui est aussi le Pôle Emploi des candidats de reality show, on n'a pas forcément l'impression de faire du bien à nos neurones… Mais alors que dire de la 15ème édition de Big Brother, dans laquelle les insultes racistes et homophobes ne cessent de fuser ! Candice Stewart, un ancienne reine de beauté, de 30 ans et Helen Kim une femme politique de 37 ans ont été la cible d'insultes choquantes, qui auraient été punies par la loi en France. Ainsi Gina Marie Zimmermann, qui est étudiante à l'université du Texas, s'est adressée à la candidate asiatique en lui suggérant de leur ''baiser les pieds et servir du riz''. Dans la même lignée on a pu entendre David Girton se plaindre d'une odeur sur ses draps en rejetant la faute sur ''Candice la noire''. Des propos qui ont choqué l'Amérique et qui ont déclenché un véritable tollé sur internet. Pire, la chaîne est accusée d'avoir voulu cacher ses propos racistes. En effet, les candidats sont observables 24h/24h sur internet, du coup ces paroles immondes ont pu être observées par des millions de personnes. Mais le jour d'après dans la quotidienne, CBS n'a pas diffusé, ni même évoqué ces propos.
 
 
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Grâce à l'acharnement médiatique, la chaîne a finalement cédé et a diffusé les images choc. Et lors de la sortie du jeu de Candice Stewart, l'animatrice du jeu Julie Chenn a parlé des insultes racistes qui ont été proférées dans la maison. La jeune femme a expliqué que cela révélait un gros problème de société '' J'ai grandi en tant que femme biraciale, et le racisme est encore très répandu aux Etats-Unis aujourd'hui et c'était à l'intérieur de la maison Big Brother". Si ça peut vous rassurer, sachez que justice a été partiellement faite : Aaryn Gries et Spencer Clawson ont été licenciés de leur travail. Ce dernier avait parlé d'Hitler en évoquant son ''talent oratoire'' et en reconnaissant l'efficacité des tortures perpétrées durant sa dictature. Rien d'étonnant quand on sait que le racisme et le Ku Klux Klan refont de plus en plus surface sur les campus américains
 
 
 
 

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