La rédactrice en chef de Meltycampus, Hinde Mebarkia,
Est-elle raciste ?
Trouvé une fois de
plus chez Melty (Décidément !) un amorçage de stéréotype raciste
contre les femmes blondes. Ce site fait preuve d'une certaine confusion
mentale comme vu ci-dessous, mais quelques
obsessions surnagent dans ce magma.
C'est ainsi que
le titre de l'article parle des fraternités étudiantes, mais
développe dans le corps du texte un "scandale" qui a eu lieu dans une
émission télévisée aux USA, BigBrother, rassemblant quelques
jeunes gens désœuvrés et qui à première vue ont peu de chance de
décrocher le Prix Nobel.
La
"journaliste", en plus "d'observer des paroles", commet
d'autres quiproquos (Ah, ces stagiaires non-rémunérés !) et attribue à
Gina ce qui est dû à Aaryn Gries. En fait, la belle
Gina a déclaré que les assurances sociales étaient des "assurances
pour nègres" (Nigger ou nigga) ce qui a donc entraîné un "scandale" et
son renvoi professionnel, on pourrait dire sa mort
sociale accompagnée d'une mise au pilori. A noter qu'aux USA, les
blancs n'osent même plus prononcer le mot entier, eu égard à la
susceptibilité explosive des afro-américains, mais disent le
n-mot. (N-word). Par contre, si le locuteur est un afro-américain,
cela est permis.
Le scandale,
plus ou moins fabriqué, sert en définitive à augmenter l'audience de ce programme pour sous-doués dotés d'un QI d'acarien.
Il
n'en reste pas moins que Meltycampus utilise une caractéristique physique (la blondeur), pour stigmatiser une personne; Il
n'en reste pas moins que Meltycampus, qui ne dénonce jamais le
racisme des noirs envers les autres communautés (Et pourtant !) ,
choisit comme par hasard une femme blonde comme personnage
raciste, alors que ce rassemblement de jean-foutres filmé 24h sur
24 a été émaillés de saillies "racistes" et autres amabilités venant de
tous côtés.
C'est ainsi que la légende de la photo devient : " Gina Marie Zimmerman, la blonde raciste"
Le
racisme étant un délit, et en l'absence d'une condamnation pénale en
dernier ressort, nous constatons que Melty accuse et juge
publiquement une justiciable sans aucun fondement légal
. Il s'agit donc d'une diffamation publique, commise par un organe
de presse qui salit d'une manière irrémédiable la réputation d'une
femme. Procédé d'autant plus vicieux que Melty
s'attaque à une lointaine ressortissante des USA, sans réseaux
d'influence ni fortune, qui doit avoir d'autre chat à fouetter que de
poursuivre un journal français.
De plus, on aura les plus grandes difficultés à voir dans la presse des titres comme :
" Gina, la crépue raciste"
ou bien
"Gina, la frisée raciste"
ou bien
"Gina, la basanée raciste"
Ce
traitement indigne est réservé aux femmes blondes, spécialement dans
les diverses émanations de Melty. On peut donc être légitimement amené à
se demander si MeltyGroup n'est pas un groupe de
presse raciste, concentrant ses attaques raciales contre une
minuscule minorité humaine qui de plus, connaît une baisse
démographique constante.
Pour en revenir à la
situation aux USA, il est sans doutes bon de rappeler une
statistique peu connue mais très significative (cf. ci-dessous). Sachant
que les spécialistes estiment qu'un viol sur 10 fait l'objet
d'une plainte, on peut calculer rapidement qu'en 10 ans, plus de
3.700.000 femmes blanches ont été violées par des afro-américains. Sur
ces millions de viols inter-raciaux, quelle est la
proportion du mobile raciste ? Quelle est la proportion de ceux qui
ont voulu punir une femme pour ce qu'elle est, pour la couleur de sa
peau, pour se venger d'un ressentiment historique
soigneusement entretenu ?
Personne
ne sait, personne ne veut savoir et aucune étude sur le sujet n'est
prévue; dommage pour les victimes innocentes, les vraies.
Plus de 37.000 femmes blanches violées par des afro-americains en un an, aucune femme noire violée par un blanc aux USA
Ce qu'il y a de bien avec les pays anglo saxons, c'est qu'ils
autorisent les statistiques ethniques. Et on trouve vraiment des pépites
parmi celles ci. On pourrait en rire, si ce n'était pas
aussi tragique.
En effet selon le
département américain de la Justice,
en 2005, 33,6 % des femmes blanches qui ont été violées, l'ont été par
un homme noir (les
noirs représentent 12% de la population US). A l'inverse aucun homme
blanc n'a violé une femme noire. Pire, la totalité des femmes noires
violées l'ont été par un homme noir.
Vous ne vous êtes pas trompé en lisant. Oui vous avez bien lu. Les statistiques officielles sont
disponibles ici (table 42).
Voici donc l'article de Yasmine :
Fraternités étudiantes : Le racisme toléré à l'université du Texas
Par YasmineLqr
Dans le dossier
Fraternités étudiantes
6 réactions
Aux États-Unis, le racisme est toujours ancré dans certaines
mentalités. C'est ce que prouve la 15ème édition de Big Brother.
Explications avec meltyCampus
jh
Quand nous regardons
les Anges de la Telé Réalité, qui
est aussi le Pôle Emploi des candidats de reality show, on n'a pas forcément l'impression de faire du bien à
nos neurones… Mais alors que dire de la 15ème édition de Big
Brother, dans laquelle les
insultes racistes et homophobes ne cessent de fuser !
Candice Stewart, un ancienne reine de beauté, de 30 ans et
Helen
Kim une femme politique de 37 ans ont été la cible d'insultes choquantes, qui auraient été punies par la loi en France. Ainsi
Gina Marie Zimmermann, qui est étudiante à
l'université du Texas, s'est adressée à la candidate asiatique en lui suggérant de leur
''baiser les pieds et servir du riz''. Dans la même lignée on a pu entendre
David Girton se plaindre d'une odeur sur ses draps en rejetant la faute sur
''Candice la noire''. Des propos qui ont
choqué l'Amérique et qui ont
déclenché un
véritable tollé sur internet. Pire, la chaîne est accusée d'avoir voulu cacher ses propos racistes. En effet, les candidats sont
observables 24h/24h sur
internet, du coup ces paroles immondes ont pu être observées par des
millions de personnes. Mais le jour d'après dans la quotidienne,
CBS n'a pas diffusé, ni même évoqué ces propos.
Gina Marie Zimmerman, la blonde raciste
Grâce à l'acharnement médiatique, la chaîne a finalement cédé et a diffusé les
images choc. Et lors de la sortie du jeu de Candice Stewart, l'animatrice du jeu
Julie
Chenn a parlé des
insultes racistes qui ont été proférées dans la maison. La jeune femme a expliqué que cela révélait un gros
problème de société ''
J'ai grandi en tant que femme biraciale, et le racisme est encore
très répandu aux Etats-Unis aujourd'hui et c'était à l'intérieur de la
maison Big Brother". Si ça peut vous rassurer, sachez
que justice a été partiellement faite :
Aaryn Gries et Spencer Clawson ont été licenciés de leur travail. Ce dernier avait parlé
d'Hitler en évoquant son
''talent oratoire'' et en reconnaissant l'efficacité des tortures perpétrées durant sa dictature. Rien d'étonnant quand on sait que
le racisme et le Ku Klux Klan refont de plus en plus surface sur les
campus
américains