samedi 5 novembre 2016

Benoît Berthelot et Barbie, ou le racisme flashy

                               Un excellent article de Semeiologia, où l'on voit que même un article sur une poupée enfantine comme Barbie peut servir à alimenter le racisme contre les personnes blondes; à relever l'accusation délirante de "stéréotypée", concernant la représentation de la blondeur, qui reste la caractéristique physique d'une minuscule minorité humaine en constante diminution sur cette petite planète. A-t-on encore le droit d'avoir une préférence esthétique  pour les cheveux de la couleur de l'or ?

                             Visiblement, pour B.B.  ( Benoît Berthelot) qui est brun aux yeux sombres, la blondeur c'est plutôt "beurk".

                             Enfin, rappelons en image  la réalité marketing de Barbie à ce "journaliste" :



 



 Voici donc cet article :







          Les lecteurs de ce blog savent à quel point la propagande à l'encontre des personnes blondes est massive, subtile et persuasive.
          En voici un autre exemple, avec un certain Benoît Berthelot qui utilise  en Mars 2016 une poupée pour lancer une attaque raciale supplémentaire contre certaines femmes, choisie sur des critères raciaux.
           C'est ainsi que cet individu estime que la blondeur, c'est "pâlichon"; or ce terme, visant une caractéristique physique est essentiellement dépréciatif; le journaliste utilise cet adjectif désuet entouré de couleurs flashy, le tout dans le contexte d'une analyse économique sérieuse et documentée, pour mieux faire passer une insulte raciale. Nous retrouvons donc également "l'argument d'autorité" , utilisé ici pour crédibiliser l'ensemble du discours.
           De même,  l'accusation de "stéréotypée" portée contre la blondeur, qui là aussi induit un contexte dépréciatif contre une caractéristique physique. Notons que ces accusations visent exclusivement la blondeur. Les journalistes à  l'échine souple et à la mâchoire puissante savent bien QUI ils peuvent attaquer et QUI leur est interdit.


A relever également, la "piqûre" de rappel sur le caractère maléfique de la blondeur (Sur le sujet cf. Blonde et maléfique  et Blonde et maléfique 2).  La seule présence de la blondeur empêche de "reconquérir le cœur des petites filles" et de "confirmer un début de redressement des comptes" Décidément, ces blondasses sont de vraies porte-poisse, des porte-malheur à éviter.


Pâlichon : A. − [En parlant d'une pers., de son teint, de son visage] Qui est un peu pâle, qui manque de couleur. Figure pâlotte; traits pâlots. Ce râleur était la coqueluche des fillasses de Montrouge. Pâlot, mal construit et maigre, il semblait tout jeune, bien qu'il eût au moins trente ans d'âge (Huysmans,Soeurs Vatard, 1879, p.141).Une petite enfant blonde, pâlotte, de sang pauvre, les yeux bleus, le profil d'un dessin un peu sec, le corps frêle, l'air souffreteux, et pas très expressif (Rolland,J.-Chr., Maison, 1909, p.970)
B. − [En parlant d'une lumière ou d'une source lumineuse, d'une couleur ou d'un objet coloré] Qui manque de force, d'éclat, d'intensité. Soleil pâlot. Voyez ce chiffonnier qui passe, courbé sur sa lanterne pâlotte (Lautréam.,Chants Maldoror, 1869, p.170).Au fig. Qui manque de relief, d'intérêt. La «jeunesse estudiantine» des légendes avait bien disparu. Il n'en restait qu'une caricature pâlotte et contorsionnée (Magnane,Bête à concours, 1941






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Benoît Berthelot, le racisme pimpant


 

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